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Les Echos et Nouvelles Duval-Arnould
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(et de la plus grande famille)
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rassemblent et publient les nouvelles envoyées
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par les membres de la famille.
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Fonctionnement et consultation
Consultation :
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BULLETIN ET ADRESSES SUR INTERNET : C'est gratuit mais nécessite un mot de passe
réservé aux membres de la famille.
C'est ici...
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Abonnement :
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BULLETIN ET ADRESSES IMPRIMÉS ET EXPEDIÉS : Pour s'abonner, utiliser la
page de contact.
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Contenu :
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BULLETIN :
Strictement familial, il regroupe les écrits provenant
des membres de la famille.
S'y ajoute le carnet familial, les changements d'adresses et
des annonces internes.
ADRESSES :
C'est la liste des adresses connues de tous les membres de la
famille Arnould, grâce aux mises à jour collectées toute
l'année.
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Parution :
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BULLETIN : En principe, deux fois par an, vers juin et
décembre.
ADRESSES : Une fois par an, vers décembre.
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Coordination :
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Paule MORELLET (7345)
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Contributions :
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Un appel aux nouvelles est
envoyé à la liste de diffusion environ un mois
avant chaque parution.
On peut y répondre par mail ou par La Poste, à
Paule.
Les ENDA disposent de leur propre adresse e-mail
:
à placer dans votre carnet d'adresses.
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Un peu d'histoire
Il était une fois, le B.F.A. :
En 1932, était envoyée aux membres de la famille ARNOULD, une lettre
intitulée "Projet d'un Bulletin de la Famille Arnould" dont voici
quelques extraits :
"Afin de faciliter notre
connaissance mutuelle et de maintenir, malgré les distances,
l'esprit de la famille, il nous a semblé qu'il serait
intéressant d'établir un lien concret entre nous.
Tous, nous participons de
l'héritage moral de grand'mère Arnould : nos convictions, nos
genres de vies, nos méthodes d'éducation sont inspirés de son
exemple et de ses principes. (...)
En nous faisant connaître l'activité
morale, intellectuelle ou sociale des divers groupes, en nous
associant aux joies, aux peines et aux soucis de chacune de nos
familles, en nous annonçant les installations des jeunes foyers
et les débuts de carrière, le Bulletin renforcera notre union
morale et pourra même faciliter une entr'aide matérielle,
infiniment précieuse à tous..."
Ce fut Raymond Duval-Arnould la cheville ouvrière de ce Bulletin de
la Famille Arnould (B.F.A.) pendant plus de 40 ans !
Quand le Bulletin cessa de paraître en 1975 avec le n° 373, le
vide créé par l'absence d'un tel organe de communication
intra-familiale se fit rapidement sentir.
Et c'est ainsi que, quelques mois plus tard, un jour...
Le B.F.A est mort, vivent les E.N.D.A. !
"C'était en janvier-début février
1978. Ce jour-là, j'allais déjeuner chez Anne-Marie et Michel
Duval-Arnould. Je pensais à la force que représentait la
famille, dans les épreuves en particulier, et comme il était
regrettable que le B.F.A. n'existât plus... et plus je marchais,
plus je pensais...
Je venais d'arriver à Paris, je n'avais pas repris d'activités,
j'avais donc un peu de temps libre, pourquoi ne pas reprendre la
suite, non pas seule mais avec une petite équipe de cousins...
J'en étais là de mes réflexions, lorsque Michel me dit "entre la
poire et le fromage" : "Dis donc, je suis décidé à reprendre
l'idée d'un nouveau B.F.A. en continuation de ce qu'a fait Oncle
Raymond, qu'en penses-tu ? Et voilà, tout était dit, les
E.N.D.A. (Echos et Nouvelles Duval-Arnould) étaient nées. (...)
Puis ce fut la rencontre avec
Jacques Guélaud. Avec une grande gentillesse, celui-ci accepta
de frapper les premiers E.N.D.A...." Geneviève Lebrun (744), E.N.D.A. n°
45 - 1992)
Les E.N.D.A. s'étaient recentrés sur la famille Duval-Arnould,
l'expansion de la descendance Arnould aidant... Mais, il fallut bien
vite recréer une rubrique "La Plus Grande Famille" pour ne pas
exclure du réseau de nouvelles, tous les cousins plus lointains bien
décidés à maintenir le contact !
Les E.N.D.A. survécurent au décès de Michel, l'équipe était solide,
Anne-Marie poursuivant l'ÿuvre de son mari. Après une vingtaine
d'années de service, se fit jour le désir de passer la main.
Cela se fit sans rupture : Paule Morellet reprit le flambeau en 1998
et le traitement de texte permit une modernisation de mise en forme,
appelée à se poursuivre.
Conclusion :
Cette histoire est bien la preuve que l'intuition de départ était
juste et intemporelle, puisque la même motivation à poursuivre cette
ÿuvre traverse les générations, pour longtemps encore sans doute.
LE SAVIEZ-VOUS ?
On recense
plusieurs prononciations différentes du sigle de notre
bulletin :
> an-da
> ène-da
> E-N-D-A
et vraisemblablement quelques autres, mais il semble qu'aucune
étude ait jamais été menée sur le
sujet.
A part les ENDA
Mais les ENDA ne sont pas le seul média des nouvelles familiales.
Dans la famille Jérôme ARNOULD, par exemple, fonctionne une autre
forme de transmission de courrier.
"Durant de nombreuses années,
Maman réalisait une sorte de journal familial qu'elle envoyait à
chacun d'entre nous. Quelques années après la mort de papa, en
1978, nous avons proposé à maman une nouvelle formule ( la
tournante ) qui serait moins lourde à gérer et aurait quelques
chances de survivre à son départ.
La tournante est composée de pages
de nouvelles (une par enfant) écrites par chacun d'entre nous et
adressées par la poste de l'un à l'autre dans l'ordre
chronologique. Chaque enfant, lorsqu' il reçoit la tournante,
retire la feuille qu'il avait rédigée quelques semaines
auparavant et remet une nouvelle feuille.
Par convention entre nous, il a le
droit de communiquer ce qu'il veut à ses propres enfants mais il
ne la leur fait pas lire. Le temps de parcours est compris entre
2 et 3 mois pour 12 étapes, chacun devant faire l'effort de
faire suivre dans les quatre jours. Il arrive que ce soit plus
long mais chacun s'efforce de ne pas garder trop longtemps la
tournante (il n'y a plus aujourd'hui que 10 étapes)."
Denys Arnould (84A)
Mais peut-être existe-t-il encore d'autres formules dans d'autres
familles ?...
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